Under [Abandonnée]

Bon voilou, suite au conseil de ma chère Lexia, même si cette histoire n'a rien a voir avec Smallville, je la poste ici parce que je savais vraiment pas ou elle pourrait aller!
enfin bref ceci est une histoire (non pas possible! )
cela parle de beaucoup de sujet, et c'est disons... écris de façon spéciale alors j'espère que vous comprendrez tout!
je vous préviens ce n'est pas très gais, mais vous me connaissez! alor bonne lecture!
je ne connais pas encore la longueur de cette hisoire, mais voilou l'entrée en matière!


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Seringue, poudre, fumée, petits cachets bleus, rose ou encore vert…
Elle s’appelait Sarah, elle n’avait que 15 ans à cette époque là.
Héro, crack, ecsta, cannabis, marijuana et haschich…
Elle était jolie et intelligente, elle avait l’avenir devant elle, le monde à portée de mains.
Rock, métal, musique bruyante… cheveux noirs, vêtements noirs…
Elle désespérait de revoir les beaux jours à nouveau, ceux de l’insouciance et de l’ignorance, ceux ou elle ne se doutait de rien.
Bleus, coups, maux de ventre, multiples fractures…
Elle avait appris à ses dépends à trop connaître le monde qui l’entourait. Jamais elle n’aurait pensé en arriver là, à faire ce qu’elle faisait chaque jour pour tenter d’échapper à la tristesse de ce monde en décomposition.

Obscurité, porte fermée, mains trop baladeuses…
Allison, jeune adolescente de 16 ans, timide et renfermée, jolie et triste de l’être.
Chambre, cauchemar sans fin, nuit interminable…
Elle avait longtemps rêvé d’être une grande avocates, plaider la cause des innocents.
Scarifications, brûlure, punitions…
Elle avait longtemps cru que tout ce qui se passait autour d’elle était de sa faute. Elle ne comprenait pas ce qu’elle faisait, comment elle pouvait provoquer ainsi mais se châtiait sans relâche, pensant que tout cela finirait par cesser.
Larmes, taches de mascara sur l’oreiller, sueur insupportable…
Elle avait tant de fois voulu en finir, mais jamais elle n’avait lâché prise, elle continuait à vivre malgré les obstacles.

Conversation par vitre interposée, barreau en acier, tunique orange…
Brian fut un excellent élève avant tout ces événements.
Sang, cadavres, tueurs en série, télévision grand écran pour plus de réalisme…
Il allait souvent en prison pour de longues conversations, cette ambiance l’avait tué.
Arcade sourcilière suturée, bagarre à la sortie des cours, plaisir à frapper…
Il aurait pu grandir comme tous les autre s’il n’avait jamais eu à voir ce qu’il avait vu. Ce bourrage de crâne, ces films plus terrorisants les un que les autres avait fini par le rendre incapable de jugement. Il ne différenciait plus le bien du mal.
Batte de base-ball, poing américain, couteaux…
Sa folie grandissait, si bien qu’il ne pouvait parfois plus la contenir. C’est triste quand on n’a que 16 ans…

Ignorance, argent, décadence…
Tom était grand, brun, des cheveux fins et courts, des yeux taillés dans de l’émeraude.
Solitude, whisky, vodka, puit de l’oublie…
Il traînait derrière lui, sa vie tel un fardeaux dont il n’arrivait pas à se détacher. Que devient la vie sans aucune attache ? une simple farce, un jeux auquel on se plait de prendre des risques.
Regrets des parents, vérité dure à entendre, et encore alcool…
Il noyait son chagrin dans l’argent qu’il dépensait. Ce dernier n’était pas un problème, il n’avait d’ailleurs jamais eu que cela de la part de ses parents.
Haine, indifférences, manque d’amour…
Parfois, il se demandais si ce n’étais pas mieux de mentir au gens. De ne pas vraiment leur dire ce que l’on pense d’eux, ne pas savoir, à 16 ans, que l’on n’a jamais voulu de vous.



Ils auraient pu avoir une vie simple, heureuse… mais les choses furent tout à fait différentes. Se sont les aléas de l’existence. Une injustice quotidienne et sans nom.
Une surface belle et lisse, nous donne l’illusion de bonheur, nous fait croire en la bonté des hommes, mais si l’on gratte la surface, nous finissons par découvrir que beaucoup de gens n’ont pas cette vie simple et heureuse, que trop sont pervertis par les vices de ce monde et nous voyons enfin en dessous…

oui t'as bien fait de la mettre la
elle est super triste mais tres jolie
et extrementbien ecrite
en tout cas moi j'adore
suite!!!!!!!!!!!

ah tu l'as posté quele part trop bien !
tu connais mon avis desus
alors comme emy je veux la suite!!!!!!!

j'aime bcp, ta facon de "dévoiler" les faits!

ba mirchi je suis contente que ca vous plaise!
je ne savais pas vraiment si vous aimeriez bon ben en tout cas voilou la suite

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1

Sarah

Il pleuvait. Un jour triste et banal, comme les autres. Je marchais le long des ruelles sordides de cette ville en décomposition. Comme tous les jours.
Je vis dans une petite ville pourri, qui pourtant a son lot d’horreur. Je ne connais pas beaucoup l’Amérique, mais si c’est partout comme ici, alors je ne veux jamais la connaître. Je hais cette existence, et je fais ce que je peux pour l’oublier. Je m’appelle Sarah. Qui voudrait d’un nom pareil ? je déteste ce nom. Je me déteste, ainsi que tout ce qui m’entoure.
Je sais cela fait très primaire, mais j’ai beaucoup de raison de ne pas aimer cette existence. A mon âge, on est souvent déprimé pour un oui ou un non, mais je crois qu’il y a pas tant de jeunes que cela dans ma situation. C’est pour ça que je me sens seule chaque jours que dieu fait.
Je n’aimais que mon père, et il n’est plus là. Je suis donc obligé de vivre avec ma mère, qui a vrai dire n’en a rien a faire de moi et surtout, mon beau père. Je sais que personne n’aime avoir une famille reconstituée mais quand l’élément rapporté se met a vous frapper ça change tout. Je me demandais d’abord de quel droit il levait la main sur moi, mais très vite, mes pensées se sont envolées. Désormais je me morfond dans mes blessures. Jamais je n’aurais pensé les adultes capables de tant de cruauté. Je me sens si stupide, bien sur que les gens son cruels. Mais j’étais trop plongée dans mes rêves pour m’en rendre compte.
Des rêves ? aujourd’hui je n’en ais plus, j’ère sans fin des ces ruelles à la recherche … je ne sais même pas ce que je cherche. Je parcours cette rue macabre, je vois un clochard assis à terre, prenant ce qui me paraît être sa dose d’héro. Une petite piqûre et tout est si différent. Plus rien ne compte, plus rien n’existe. J’adore ces moments là. La drogue, c’est bien au delà de tout ce que l’on connaît. L’alcool n’est rien a coté. C’est cette idée de bien être qui m’a rendu accro. J’en suis à un stade ou je ne peux plus m’en passé. Certains emploieront le terme de « junkie ». Oui je crois que j’en suis une, je n’en suis pas fière mais au moins, j’ai trouvé une échappatoire.
Je rentre dans un nouveau lycée demain. Et oui, c’est la fin de vacances. Près de 70 jours à se faire frapper et traiter de tous les nom. Ce que je peux détester les vacances. Enfin bon, que puis je y faire ? on ne peux pas s’habituer a ce genre de situation, juste attendre que cela passe, même si on en voit jamais la fin.
J’entre enfin dans un petit café et commande. Je sors une cigarette de mon sac et l’allume tranquillement. De mes cheveux noirs, tombent des gouttes d’eau qui rafraîchissent mon visage. Mon vernis à ongle noir donne un aspect sale à mes mains. Mes habits sont trempes, informes et pourtant personne ne fait attention à moi. Il faut dire que je ne suis pas le seul énergumène de la salle. Il y a des mendiants qui viennent dépenser leur peu de sous dans la boisson, il y a des drogué, tout comme des voleurs, violeurs, et autre personnes de plus basses origines encore. Je viens souvent ici. Il faut dire que c’est le seul café ou personne ne me regarde de travers. Je me sens chez moi, dans les baffons d’un monde fondé sur l’apparence. Ici, personne ne se préoccupe de l’image qu’il donne de lui. Nous sommes comme tous les autres, pourri jusqu'à la moelle, mais au moins nous avons le courage de ne pas le cacher.
Il y a un garçons au bar, il doit être nouveau car je ne l’ai encore jamais vu ici. Des verres vide sont dressés fièrement devant lui. Il ne doit déjà plus y voir très clair. Il n’est pas du quartier cela se voit. Ses vêtements sont sobre, mais a la fois très class pour son age. Il doit avoir dans les 16, voir 17 ans. Sans m’en rendre compte, je le fixe, comme s’il n’avait pas sa place ici. Le style bon chic bon genre n’est pas vraiment la clientèle attendue ici et il se fond mal dans ce décor macabre. Il se tourne lentement et me regarde. Ses yeux vert font chavirer les miens, et je préfère les baisser. Je n’aime pas fixer les gens car je me vois dans leur yeux. Je vois trop clairement ce que pense les personnes de moi, leur jugement à peine ont ils posés les yeux sur moi. Je haie voir mon reflet en eux, me rendre compte a quel point je suis au dessous d’eux. Je ne vaus rien, je le sais on me l’a assez répété. J’ai au moins cela, retenir ce que l’on m’inculque. J’écrase le premier mégot dans le cendrier. C’est la fin de la journée, et je ne veux pas rentrer chez moi, mais je ne sais pas ou aller. Alors je vais devoir essuyer un nouveau traitement.
Jamais je n’ai compris pourquoi ma mère fermait les yeux sur tout cela. C’était tout de même ma mère, et elle se fichait de mon sort. Je suis jeune, et pourtant je connais mieux que quiconque la nature de ce monde. J’ai vu les gens les plus bas que l’ont puisse imaginer, j’ai assister à la décadence dans toute sa splendeur, j’ai vu la mort en face plus d’une fois, je vis dans les égouts d’une Amérique meurtrie par sa progéniture. Vous croyez vraiment qu’on peut grandir ici ? dans ce genre d’endroit? personne n’a idée de ce qu’est cette vie. Je me demande à chaque seconde pourquoi je m’évertue a continuer, et jamais je ne trouve de réponse..

2

Tom

Il avait perçu les yeux de cette filles, si sombre, si désespérés, qu’il s’en voulait de prendre sa cause au sérieux. Certes Tom n’avait jamais manqué de rien, si ce n’est de l’amour de ses parents, mais il se demandait au fond de lui s’il était vraiment à plaindre. Il savait que beaucoup de situation plus grave l’entourait et il se sentait égoïste de penser qu’il était le seul au monde à souffrir de l’ignorance de ces géniteurs. Cependant, il continuait à boire. Cela l’aidait grandement.
Il regardait cette fille se lever et sortir de ce bar insalubre et morbide. Fréquenter ce genre d’endroit, à son âge, en étant une fille, il se disait qu’elle devait en avoir des problèmes… mais après tout qui n’en avait pas ? certes plus ou moins important mais il y a toujours quelque chose qui fait que notre vie ne peux pas être un long fleuve tranquille. Chacun avait son lot de soucis. Il voulu enfin se lever, mais l’alcool reprit ses droit et il vacilla, s’accrochant du mieux qu’il pouvait à une chaise à proximité. Les clients ne prêtaient pas attention à lui, chacun dans un état d’ivresse bien trop important. Ce lieu était noir, sale, donnait une vision atroce de ce que pouvait être la vie sous l’apparence qu’on lui donnait. Tous avaient des apparences presque caricaturé, ils étaient squelettique et faisait peur à voir. Des cernes marqués, les cheveux sale, des vêtement troués, bref un vraie dépotoir. Il sortit tant bien que mal sans plus un mot. Il atterrit dans le rue et la pluie battait plus fort encore contre son visage. Il passa une main dans ses cheveux brun et appréciait le contact de l’eau. Tout était flou autour de lui, il marchait à travers les morceaux d’un monde en décomposition. Il marchait, plus rapidement sous la pluie battante et d’un bras, appela un taxis.
Vu de l’intérieur d’un véhicule, au travers d’une fenêtre, tout nous parait simple. Les gens défilent, les voitures défilent, les immeubles défilent… tout es si différent. Comme quand on se pose devant le télévision. Nous voyons tout, mais ne vivons rien.
La taxis finit par s’arrêter devant une imposante demeure. Retour violent a la réalité. Il reprend ses esprit, son air assuré, et entre enfin chez lui. Ses parents doivent se trouver dans une des innombrables pièces de la maison, mais il décide de monter a sa chambre sans un mot. Alors qu’il s’allonge sur le lit et se perd dans un de ses musique violente, son esprit divague et il revoit les yeux de la jeune fille du bar. Ce regard emplie d’un détresse qu’il avait rarement vu. Des yeux sombres, brisé par la vie qu’elle traînait derrière elle. Il ne lui avait fallu que quelque secondes pour imaginer ce qu’elle devait vivre. C’était bien pire que lui il en avait conscience. Ses paupières se firent lourde, son mal de tête plus puissant. Ses yeux… ce regard ne quittait plus ses pensées. Il ne pourrait sans doute pas l’oublier et il se demandait bien pourquoi.

Citation :

Je m’appelle Sarah. Qui voudrait d’un nom pareil ? je déteste ce nom

moi j'le porte et j'laime bien! MDR :lol:

sinon c'est... waouh!
je sais pas comment tu fais pour toujours aussi bien décrire ce qu'ils peuvent ressentir mais j'adore vraiment ton style!
continue j'veux une suite

j'adore maisje me pose une question tu a changé de personne pour ecrfire et tu l'a réecris du moin opour le chapitre 1 et 2 non ?

ba en fait c fait pour
lol je sais c'est assez bizarre mais ca change tout le temps
enfin bon tu verra bien
lol la suis chez ue cop donc la suite demain

Alors l'introduction j'avais déjà lu !j'aime beaucoup ton style dans ce passage ... ça change de d'habitude ...

après le passage de Sarah, pauvre fille, battu par son père

et le passage de Tom ... très bien écrit ... et en plus il a rencontré Sarah ...

Histoire triste décrite avec beaucoup de style et d'émotion ...

bref un sans faute pour toi miss Ju !

ba mirchi bocou
mais attention suis mimi pk voilou la suite!!!!

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3

Allison

Elle était recroquevillée dans sa chambre, les bras retenant ses jambes contre elle. Ses long cheveux blond recouvraient ses genoux coincés sous son menton. Elle restait prostrée dans cette position, sans vraiment savoir ce qu’elle attendait, ou ce qu’elle redoutait. Si, tout compte fait elle savait ce qu’elle redoutait, elle le savait trop bien.
C’était la fin des vacances, une délivrance pour elle. Elle sortirait enfin de chez elle, cet endroit ou elle était restée enfermée tout l’été. Elle ne supportait plus voir la porte de sa chambre se refermer sur elle, cachant aux yeux du monde ce qu’elle vivait quotidiennement. Elle sombrait un peu plus chaque jour dans une dépressions sans fond. Pourquoi devait elle supporter tout cela ? pourquoi elle ?
Allison se sentait timide, inférieure aux personnes qui l’entourait. Elle faisait de son mieux pour passer inaperçue, et c’était peu être pour cela que personne ne remarquait sa détresse. Personne ne lui prêtait une attention particulière, si ce n’était son père. Son père qui lui disait ne vouloir que son bien, jour après jour. Ce même père qui fermait la porte de cette pièce a clé et éteignait la lumière.
Ses bras resserraient leur emprises autour de ses jambes. Une larme coulait de ses yeux parfaitement bleu. Ses yeux se perdait dans un vide sans fin. Elle essayait de s’imaginer une vie meilleure, ou elle pourrait être enfin heureuse, mais elle n’était pas stupide, et savait que jamais cela ne serait possible. Quoi qu’elle fasse, ou qu’elle aille, si loin de cet endroit, ses souvenirs la hanterait toujours. Jamais un homme ne la toucherait, elle ne le supporterait pas. Qu’avait elle comme option ? finir vieille, seule, dans une maison remplie de chat ? le mythe de la vieille folle au chat, était ce cela qui l’attendait ? a son âge on ne choisi pas ce genre d’avenir, mais le choix, l’avait elle vraiment ? elle vivait quotidiennement ce qui peut en une seule foi détruire une personne. Imaginez une torture répété, constante. Tout cela lui accaparait l’esprit, et même si elle se forçait de penser à autre choses, tant d’image lui envahissait la tête qu’elle n’arrivait plus a faire le tri. Elle sombrait lentement.
Elle tremblait. Elle voulait s’enfuir, mais une foi dehors, que pourrait elle bien faire ? tout ce qui l’attendait c’était une bande de clochards qui lui ferait subir bien pire encore. enfin pire… elle ne savait pas vraiment s’il pouvait y avoir pire que sa situation actuelle. Ses yeux détaillait la pièce et se posèrent enfin sur le lit. Les draps et couvertures étaient défaits. Elle n’avait jamais compris cette obsession qu’on les gens a faire le lit alors que c’est un élément destiné à ne jamais être vraiment « fait ». Ses tremblement reprirent de plus bel. Elle voyait cette couette tomber simplement sur le coté, alors que les draps étaient éparpillés sur la matelas. Elle se tirait les cheveux sans trop savoir pourquoi. Elle détestait ce lit. Ces oreillers l’horripilaient, ces draps, si blanc, mais a la fois si souillés. Elle se leva et rageusement, tira la couverture, puis la jeta au sol. Elle finit par se laisser tomber sur celle ci et se mit à pleurer. Elle déversait ce flot de colère intérieure dans de simple larme. Elle remit un mèche derrière ses oreilles et vit la porte s’ouvrir. La chambre était sombre, alors que l’extérieur éclairait la pièce. Une personne se tenait a contre jour, la lumière faisant de sa silhouette une personne irréelle. Allison passa nerveusement une main sur ses cheveux. L’ombre se disloqua et la porte fut fermée à clé une fois de plus.


4

Tom

La clarté transperçait lentement mes paupières. Je savais que mon réveil n’allait pas tardé à sonner, même si je n’avais pas encore ouvert les yeux. A cette époque ci de l’année il fait jour très tôt, et la plupart du temps je suis le premier debout.
C’est mon premier jour de cour. Autant dire que je n’ai pas vraiment envie de me lever. Aller dans un nouvel établissement, voir de nouvelles têtes, de nouvelles personnes qui vous jugent et se font une idée sur vous sans même vous avoir parlé, que de bonheur. Hier soir je suis rentré chez moi, et sans même mangé je suis allé me coucher. Mes parent ne s’en sont même pas aperçu, je suis d’ailleurs sur qu’ils n’ont même pas prit la peine de vérifier si j’étais bien rentrer.
Je ne peux pas dire que je déteste mes parents. Je ne les connais pas assez pour cela. A ça des cadeaux, j’en ai ! constamment, je n’ai même que cela. Mais savoir que nos parents ne nous aime pas, c’est difficile à gérer. J’aurais préféré ne pas avoir tout cet argent en compensation d’un manque affectif. Ils sont égoïstes et ne pensent qu’à eux. Je me demande s’ils ont une seule foi réfléchit avant d’avoir un enfant. Je ne crois pas, ils ont eu un enfant car il leur fallait une descendance, quelqu’un à qui léguer toute leur saleté de pognon. Le nom de mon père ne pouvait pas être enterré avec lui, alors il m’ont choisi, il m’ont eu. Mais se sont il demandé une seule foi ce que j’en pensait moi ?
Je finit par me lever et me diriger a la salle de bain. Premier jour de cours. Je me serais bien passer de ce détail. Je n’ai aucune envie d’y aller.
Je sors de la douche et regarde mon reflet dans la glace. Je passe une main sur cette image, cette apparence. Pourquoi est ce que j’ai l’impression de sonner faux quand je ris a des blagues nulles de mes amis, pourquoi me semble-t-il que le vision que les autres ont de moi et si décalé de la personne que je suis. Ce reflet n’est pas le mien. Si notre âme pouvait se refléter, je sais que dans ce miroir je verrais un de ces clochards qu’il y a dans les bars que je fréquente. Je me verrais sale et souillé par la vie. Mais au lieu de ça, je ne vois qu’un garçon, jeune, propre, bien sous tout rapport. Je haie cette image. Je sais que ce n’est pas moi. Mais comme le dit le dicton, les apparences sont trompeuse. Je crois que personne ne ressemble à ce qu’il est vraiment. Personne ne peut porter sur lui la peine qui le submerge, la détresse ou la folie.
Je sors enfin, m’habille et me retrouve dans un taxi. La journée ne commence que dans une heure, mais je ne veux pas croiser mon père ou ma mère. Je ne supporte pas les voir, eux et leur vie parfaite. Ils semblent tous les deux avoir tout réussit, mais je les trouvent pathétique. Ils font partit de ce groupe de vieux bourges que la vie ne surprends plus. Enfin c’est ce qu’ils veulent montrer, pourtant je suis sur que s’il savait tout ce que je peux bien faire, il seraient choqués a vie. J’ai pensé tellement de foi fuguer de chez moi, mais une question revenait toujours a la charge… Pour aller ou ? que ferais je une foi dehors ? je ne serais pas plus avancé, et mes parents seraient sûrement soulagé de ne plus m’avoir sur le dos. Alors non, je n’allais pas fuir lâchement, mais faire face, pour une foi.


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au fait Kay, j'adore le prénom sarah , c'est juste le perso qui ne l'aime pas car il vient de ses parent lol

Ju tu m'impressionnes une fois de plus !

je crois que pour l'instant mon personnage " préférée " c'est celui d'Allison, la pauvre constamment enfermée dans une pièce seule ...

Et puis tom et son réveil ... tu analyses ce que ça fait d'avoir de largent mais pas d'amour c'est très très bien ! faut continuer !

Bon ben pour pas changer des habitudes ssuuiitttteee !!! sinon c'est moi qui fait le petit dessin :DD

C'est très très ...

A pas de mots pour dire toutes les émotions que tu fais partager tes émotions aux persos qui sont ....

SUUUIIIIIIIIIITEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

bon après bocou de harcèlement moral par une quise reconnaitra voilou la suite

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5

Brian

Il était assis sur un banc devant son nouveau lycée. L’idée de devoir retourner à ses cours ne l’enchantait pas vraiment. A vrai dire, plus rien ne l’enthousiasmait. Il passait ses journées, chez lui, a ne rien faire de bien intéressant.
Cela faisait bientôt quatre ans. Quatre ans que son père était en prison. Quatre longues années ou il allait lui rendre visite régulièrement. Il avait été condamné pour coup et blessures, une première foi avant sa naissance, et avait replongé, pour double viol et meurtre.
Sa propre mère avait peur de Brian. Il devenait violent et admirait son père. Elle voulait lui interdire de lui rendre visite. Mais pour qui se prenait elle ? ce n’était qu’une femme, rien d’autre. Personne ne pourrait l’empêcher d’aller voir la personne qu’il aimait le plus au monde et qu’il prenait pour son mentor.
16 ans, un âge critique, ingrat. il n’avait que peu d’ami, personne ne comprenant ses goûts si spéciaux. Il aimait se battre, jouer a des jeux bien trop dangereux pour son âge. Plus rien ne lui faisait peur. Il empruntait le chemin de son paternel.
Il n’était pas neuf heures mais le soleil était déjà bien haut dans le ciel. Il éclairait son visage grossier. Son nez avait du être cassé déjà plusieurs foi. Il était très musclé pour son age, mais son teint livide, ses cheveux devenu inexistant faisait de lui un personnage a part. Son apparence faisait peur, et autant dire qu’il faisait de son mieux pour cultiver cette image de dur a cuire. De la poche de son sac, il sortit un poing américain. Vous savez, ces genres de piques en acier dont on se munit pour des coup de poings plus agressif et douloureux.
Il le regardait sous tous les angles. Il était en argent. Voilà le cadeau que lui avait offert son père pour ses 15 ans. Il s’en était servit a mainte reprise pour quelques règlement de compte. Il le faisait glisser d’une main à l’autre, le lissant de ses doigts. Il tenait cette arme et ne se lassait pas de contempler ses formes.
Pourquoi prenait il du plaisir à se battre ? a faire souffrir les autres ? cela était ce dans ces gênes ? dans celle que lui avait transmise son père ? se pouvait il qu’avec une éducation différente, il soit différent ou cela était ce en lui, une marque inaliénable de sa folie. Cette aptitude a faire le mal, a semer la destruction, était ce en quelque sorte sa marque de fabrication ? il se demandait constamment ce qu’il serait devenu s’il avait eu des parents différent. Il se posait sans cesse la question, et voulait savoir si tout cela venait de lui, était en lui, ou avait tout simplement été inculqué par un père trop… a part.
Il entra l’arme dans la poche de son jean et se leva. C’était l’heure. L’heure de rentrer dans ce nouvel établissement dans lequel il allait passer encore une année monotone, triste et sans intérêt comme les autres. Il parcourait les couloirs et voyait cette foule se concentrer autour de lui. Il voyait ces filles, partout, courir, rire. Il avait envie d’effacer ces jolie sourire de leur visage si parfait. Il ne savait pas vraiment d’ou venait cette haine infondée contre les femmes, mais il est vrai que leur présence le mettait hors de lui. Il avait des envie de meurtre. Au sens propre ? il y avait souvent pensé. Il voulait savoir ce que l’on ressentait en tuant quelqu’un, il aurait voulu pouvoir extirper le dernier souffle d’une de ces adolescente présente dans le bâtiment.
Avait il une tare ? un défaut de conception ? pourquoi était il si noir ? c’était la grande question que tout les gens normaux se posaient. Pourquoi les tueur y prennent ils du plaisir ? d’ou peut bien provenir leur folie ? ce besoin et cette jouissance à tuer. Il ne pouvait pas refreiner sa vraie nature, il le savait et tout au fond de lui, il pensait un jour rejoindre son père en prison, dans les quartier de haute sécurité…


6

Sarah

Sarah était pâle. Ses yeux presque clos, ses paupières recouvertes de far à paupières noir. Un crayon de la même couleur faisait le contour de ses yeux. Elle ôta le garrot de son bras et jeta la seringue vide dans la benne a ordure a laquelle elle s’adossait. Elle frictionna son bras et rabaissa sa manche.
Elle n’était plus là. Elle était partie bien au delà de ce que les gens peuvent imaginer. Elle se sentait légère, elle se voyait voler au dessus de cette ville. Elle sortit ses cheveux de derrière ses oreilles et laissa son carré plongeant noir recouvrir les bleu qu’arborait son visage. Elle marchait lentement, essayant de garder le peu de prestance qu’il pouvait lui rester. Elle entra a son tour dans le grand lycée. Les gens y grouillaient comme dans une fourmilière. Elle les voyait si rapide, elle les imaginait courir dans tous les sens alors qu’elle vivait à deux kilomètre à l’heure. Ils se bousculaient dans tous les sens et elle trouvait cela si dérisoire. Pourquoi les gens prenait il le rentrée comme l’événement du siècle. Ce n’était, dans le fond, pas si important que cela.
Certes les parents allaient enfin avoir la paix pendant la journée, les lycéennes allaient se retrouver après les cours pour parler d’un tel ou d’un autre. Les garçons allaient retourner a leur occupation stupide et recommencer a reluquer les filles. Les professeurs allaient encore leur sortir tout leur baratins de tête bien pensantes. Bref c’était en soi, chaque année la même chose, mais elle était la seule a le remarquer. Un éternel recommencement. Cela n’aurait don jamais de fin ?
Dans le vie, il n’y a rien de pire que l’habitude, pensait elle. Refaire les même gestes chaque jour, ne plus avoir à penser a ce que l’on va faire, car tout est déjà planifié. Mais la vie était ainsi. Que pouvait elle y changer ? allait elle faire une révolution et changer le monde ? bien sur que non, alors pourquoi sans arrêt se poser des question aussi existentielle et tout simplement, ne pas se laisser vivre. Mais comment pouvait elle se laisser vivre avec ce qui lui arrivait chaque jour. Qui voudrait d’un vie pareille ? elle aurait pu la léguer à n’importe qui sans jamais la regretter.
Elle entrait dans la salle de classe ou son nom était inscrit et pris place au dernier rang. Elle s’assit, seule et heureuse de l’être. Elle scrutait tout ces fils à papa, et fifille très BCBG. Elle était toute parfaitement maquillé, habillé à la mode et commençait a prendre des notes sur les différent élèves de la pièce. Jamais elle ne voudrait ressembler à cela. Elle cultivait son apparence gothique, éloignant les autres d’elle, s’isolent dans sa peine et son désarroi. Elle posa ses coudes sur la table qu’elle avait devant elle, et logea son visage entre ses mains. Sa tête tournoyait. Elle ne savait plus vraiment ce qui l’entourait.

Ho où ça des menaces morales je vois pas de quoi tu parles :DD

Je crois que de tous le personnage que j'aime le moins c'est Brian, je sais pas pourquoi, enfin bon il est bien quand même ! Je l'aime bien mais je sens qu'il va être méchant !

Et Sarah ben elle je l'aime toujours autant, même si elle arrête pas de se droguer ! j'espère que ça va s'arranger pour elle :D

alors SUUUIIITTTEEE !!!! :twisted:

C'est vraiment des vies?

J'aime beaucoup la description des personnages, ils sont complexes en train de souffrir, ils ont une vie qui n'est pas rose mais c'est LEUR vie et on la comprend

SUUUUUUUIIIIIIIIITTTTTTEEEEEEEEEEEEEE

ba vi je sais se sont des vis spéciale
mais pour certain ca ira mieux avec le temps!
la suite
quand vous me la demanderez avec plus d'entrain!!!!! :twisted: mdr

Quelqu'un a parlé d'entrain ici ?

mais moi je suis pleine dentrain, je fais que ça te demander ! te supplier ! :(

VEUT LA SUITE !!!!!!!

Lexia va chercher sa petite tenue de pompomgirl la ressort, et commence une petite danse et un et deux ! et tous pour Ju !!!! :P

PPPPPPPPIIIIIIIIIIIIIIIIITTTTTTTTTTIIIIIIIEEEEEEEEEE je ferais tout ce que tu voudras :DD

7

Allison

Quand je suis entrée, j’ai tout de suite vu la place au fond, a coté de cette fille bizarre. Elle se tenait la tête entre les mains. A première vu, oui, elle me faisait peur. Mais j’étais si heureuse de sortir de chez moi que rien ne pourrait gâcher cela. Je n’avais pas croiser mon père ce matin là, ce qui était un exploit. J’étais sortie en vitesse avant qu’il ne se réveille et j’avais accourue ici.
Hier, cela avait été la journée la plus longue de ma vie. J’était restée prostrée dans ma chambre, imaginant tous les scénario possible pour cette rentrée. Mais finalement, rien ne se déroulait de façon catastrophique, ou du moins pour le moment.
Je m’approchais donc de cette fille et décidais enfin de prendre place à ses cotés. Je ne savais pas vraiment quelle allait être sa réaction. Elle a mit un long moment a sortir le visage de ses mains pour enfin me regarder. Je crois que c’est a ce moment là que je suis tombé sous le choc. Je vois assez de gens drogués chaque jour pour pouvoir dire que là, elle avait abuser sur la quantité. Ses yeux étaient rouge et sortait littéralement de leur orbite. Je sentais ses paupières lourde si bien qu’elle avait du mal à les tenir ouverte. Je ne sais plus vraiment combien de temps je suis resté là, a la regarder dans les yeux. Mais elle n’a rien dit, preuve qu’elle n’était plus parmi nous.
J’ai mon lot de problème croyez moi. En apparence, j’ai l’air d’être une fille enjouée car je ne supporte pas la pitié des gens. Je n’ai jamais osé dire ce que me faisait mon père. J’en suis honteuse. Je pense que dans le fond je dois y être pour quelque chose. Je ne sais pas moi, inconsciemment je dois le provoquer, car je sais que tous les adultes ne sont pas comme lui, ou du moins j’ose y croire. Ce n’est peu être pas entièrement sa faute. Peu être que si j’étais différente, lui aussi le serait. Mais je ne peux pas m’empêcher de le haïr. Certains vont me dire que j’ai raison, mais la vérité, c’est que je me déteste avec lui. Je me sens sale, et chaque jour je me purge comme je peux. Toute ma vie je me suis dit que c’est comme cela seulement quand on est petit, mais je n’en suis plus très sure. Même si j’arrive un jour à, avoir une vie normale, je crois que je serait rongée par tout cela. A chaque fois que je respire, que je ferme les yeux, j’ai l’impressions d’être dans cette chambre, sur ce lit… et j’ai peur. J’ai passé toute ma vie à pleurer, maintenant je ne m’en sens plus capable.
Mais malgré tout cela, je ne me suis jamais droguée, et je n’ai jamais bu jusqu'à la déraison. Certains diront que je suis folle pour endurer des trucs comme ça, mais d’autre penseront que je fais face. Je ne sais pas vraiment qui a raison et a vrai dire, je ne me suis jamais posé la question. Je subi, c’est tout ce que j’ai a faire aujourd’hui. J’ai songé a partir de chez moi, mais je me demandais ce que cela pourrait m’apporter de plus ? aller dehors et subir encore pire ? la rue n’est pas un endroit pour une fille, trop dangereux. Alors je reste chez moi, et je subi encore et encore. Je ne sais pas si ma mère a conscience de tout ce qui se passe sous son toit et je sais que c’est bête, mais j’ai peur de le lui dire.
Je m’efforce donc de garder ce sourire, même si je sais qu’il sonne faux et je m’adresse a cette fille :
- Salut, moi c’est Allison.
Elle met un long moment a avoir une réaction. Elle lisse ses cheveux en arrière et les remet aussitôt en avant sur son visage. Elle a agit rapidement pour une foi mais c’est trop tard, j’ai bien vu son visage. Son maquillage se fait peu être noir et elle se veut dure, mais j’ai bien remarqué les trace sur son visage.

8

Tom

Il était habillé simplement. Il portait un sac en bandoulière qu’il posa sur le dernier bureau au fond de la salle, dans la rangée de gauche. Il s’assit lourdement et contemplait les personnes qu’il devrait supporter tout au long de cette année. Et voilà, c’était encore pareil. Il ne connaissait personne mais avait pourtant l’impression de revoir les même visages. Il scrutait la pièce. Les profs n’étaient pas encore la et un vacarme sans nom s’installait déjà. Il remarqua un petite blonde, a sa hauteur, dans la rangée de bureaux de droite. Elle parlait avec une fille, ou plutôt non, faisait un monologue. Tout ce qu’il pu voir de sa voisine de classe, c’était ses cheveux noirs, rien de plus. Son attention se perdit dans le vague. Il en avait déjà assez et voulait rentrer chez lui se défouler sur le nouveau jeux vidéo qu’il venait d’acheter.
Il adorait ça, ces jeux sanglant ou on peut passer notre rage sur les monstre a tuer. Ses mannettes partaient souvent en morceau, mais qu’en avait il a faire au fond ? il pouvait s’en racheter des centaines.
Près d’un heure passa ainsi. Les ados parlaient de choses et d’autre, assis sur les tables. Il était seul au fond, a se perdre dans les jeux, tous plus nuls les un que les autres, de son portable. Il la remarqua enfin. Il n’eu aucune hésitation et reconnu la fille aux yeux sombre. Elle se trouvait là, à quelques mètres de lui, dans la rangée de bureau d’à coté. Elle semblait malade. La blondinette qui se trouvait a ses coté continuait son monologue. Il voulait l’aborder mais qu’aurait il pu bien lui dire ?
Il vit enfin un professeurs entrer dans la pièce. Chacun prit place à une table et il remarqua qu’il était le seul a avoir une place libre a ses cotés.
Pourquoi avait il fallut qu’il viennent à ce lycée. Ce n’était pas une grande ville et elle ne comportait que deux établissement d’enseignement supérieur. L’autre avait mauvaise réputation, et bien que tout ses amis soit allé là-bas, Tom devait garder bonne image et venait donc dans ce lycée, soit disant réputé. Soit disant car bien sur, dans le fond, aucune école n’est exemptée de problème, et c’est bien souvent celles qui ne le montre pas qui en ont le plus.
Il ne prenait même pas la peine d’écouter ce que cet adulte sans intérêt avait a dire. Après tout, qu ‘avait il a apprendre. Il n’aurait qu’a arborer le nom de son père et tout lui tomberait tout cuit dans les mains. devenir intelligent ? savoir tenir un raisonnement ? il ferait comme son paternel et paierait des gens pour cela. A quoi servirait l’argent sinon ?
Le professeur commençait donc son discours fastidieux sur le règlement de l’école…


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voilou et on dit mirchi ki???? mdr

on dit mirchi Ju ! :DD

merci d'avoir mis la suite ! Allison est très courageuse apparemment, mais je pense qu'elle devrait en parler à quelqu'un ça serait mieux pour elle ... alors comme ça ils sont tous les trois dans la même classe, j'ai l'impression que l'autre personnage va arriver rapidement et pourquoi pas s'assoir à côté de Tom !

Tom ben lui il pense que l'argent suffit à tout obtenir, sûrement qu'on l'a éduqué comme ça !

alors suite please :D

C'est super bien écrit Ju, super dramatique, et pourtant, tellement vrai, on dirait que tu sais réellement ce que c'est d'être battue,...

En tout cas j'adore!!

J'ai envie de savoir la suite!!

C'il te plaît !

et voiala j'ai lu tout moi retard et je doit dire que j'adore toujours autant contiu
j'adore

suite!!!!!!!!!!

Alors merci Ju et Lexia pour le harcèlement... :DD

Pis je veyx la suite car je veux savoir, j'aime beaucoup Allison, elle est ... Tout comme Tom et la voisine d'Alliison

SUUUUUUUUUIIIIIIIIIIITEEEEEEEEEEEEEEEEEE :mrgreen:

rah j'adore!
c'est assez sombre, mais j'aime trop!
ils se retrouvent tous dans la même classe, interressant
hors mis Brian, parce qu'on sait pas encore pour lui...
suite suite suite!

et voilou la suite les filles!
en espérant que ca vous plaise toujours!
dites merci à Lexia c'est ma muze a moi lol

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9

Sarah

Pas de drogue ici ? mais oui bien sur. C’est fou, chaque année les professeurs tiennent le même discours alors qu’ils savent très bien que les règles sont faites pour ne pas être respectés ! après tout ce temps ils devaient bien savoir que quoi qu’ils disent, jamais les élèves ne les écouteraient.
Et il y avait cette blonde à coté de moi qu n’arrêtait pas de parler. Comment s’appelait elle déjà ? ah oui, Allison. J’avais une furieuse envie de lui dire :
« - Dis moi Allison, tu n’en as jamais marre de parler ? »
A vrai dire, je me suis retenu. Non pas que j’ai eu peur de la blesser mais j’aurai eu ensuite droit aux même sermons que font toutes les filles quand on leur dit de se taire. J’avais mal à la tête, cela devenait affreux. Je ne voulais qu’une chose, c’était courir à ma chambre et m’enfermer. M’endormir et m’envoler loin d’ici.
Je ne pouvais même plus penser tranquillement. Elle n’arrêtait plus de parler et même si je ne répondais pas elle continuait. En voilà une qui était contente de sortir de chez elle !
- Au fait c’est quoi ton nom ? m’a-t-elle demandé.
- Sarah.
- Oh, c’est jolie Sarah ! moi j’ai une…
Et voilà, c’était repartit. Mais pourquoi avait il fallut que je tombe sur quelqu’un dans son genre. Et le prof qui continuait a nous faire le topo sur la drogue. J’avais envie de crier :
« - Non mais regardes moi ! est ce que j’ai l’air de prendre au sérieux ce que tu dis ! c’est vrai la drogue c’est dangereux ! et à ton avis imbécile pourquoi les jeunes en prennent ! »
Je crois que ce que les adultes n’ont toujours pas compris c’est que c’est justement parce que c’est dangereux et néfaste que les jeunes en prennent. Ils n’arrêtent pas de nous bassiner en nous parlant des conséquence, mais s’ils disait qu’on ne risquait rien en en consommant, croyez moi, très peu d’ado seraient accros.
Pourquoi j’ai commencer à me droguer ? pour oublier certes, mais parce que je dis toujours qu’il faut bien mourir de quelque chose. Si la drogue me tue demain, je n’aurais plus a vivre cette vie de chien et je serais enfin tranquille. Je n’ai pas le courage de me suicider. J’ai voulu essayer mais toujours j’ai reculé au dernier moment. Alors voilà, si je dois mourir d’overdose, se sera bien.
Il y a ce type qui me regarde bizarrement dans la rangée de gauche. Je crois bien que c’est celui du café hier. Je reconnaît ses yeux, ses cheveux. Oui c’est bien lui, mais cela ne me dit pas pourquoi il me regarde comme ça.
Allison, je crois qu’elle se sent dans l’obligation de me parler pour me changer les idées. Elle a vu mes marques tout à l’heure et voilà qu’elle se sent investit du devoir de m’aider. Mais je crois que ce qu’elle ne sait pas, c’est que je ne rêve que d’une chose, sortir aller fumer pour ne plus l’avoir sur les talons.
C’est fou ce que les gens peuvent être maladroit quand ils essaient d’aider les gens. Faites comme moi, laissez les s’aider eux même. Je ne veux pas d’aide, je n’en ai pas besoin. Tout ce que je veux c’est qu’on me fiche la paix.
Bon certes, si quelqu’un allait flanquer une raclée à mon beau père, cela m’aiderait, mais sinon, qu’est ce qu’ils pouvaient bien faire d’autre ? rien. C’est le genre de situation ou malgré toute la bonne volonté du monde, on ne peut rien.
Se sentir impuissant, c’est quelque chose que je connais trop bien. Vous avez une idée de l’humiliation que c’est de se faire frapper sans pouvoir riposter. S’écraser comme une moins que rien sans faire le moindre geste. C’est une atteinte à l’amour propre très dure à supporter. Je n’ai plus d’amour propre depuis bien longtemps. Je n’ai plus honte de quoi que se soit. Certains diront que les coups dur de la vie les ont renforcé, d’autres que cela les a brisé. Je ne sais pas très bien ou je me situ. Ne rien faire et me droguer comme une folle signifie peu être que je ne suis plus rien, alors que continuer a vivre dans de telle conditions correspond a un fort caractère. Je ne sais pas et a vrai dire je m’en fiche. J’en viens même a me demander pourquoi je me pose la question.
Je suis toujours en train de me poser des questions stupides alors que je sais qu’elle n’auront jamais de réponse. J’ai parfois l’impression d’être la seule à me demander des trucs toute la journée. Je réfléchis beaucoup. A vrai dire, quand je n’ai rien pris je n’ai que ça a faire. je suis sure que dans une autre vie j’étais une reine de l’existentialisme. Dès mon plus jeune âge ma mère disait que je réfléchissait trop, qu’il valait mieux vivre au lieu de penser. Mais cela ne m’empêchait pas de me poser tout un tas de questions. Dans le fond, je sais que jamais une seule d’entre elles n’aura de réponses, mais qui sait, on ne sais jamais ce que l’avenir nous réserve, si avenir il y a…


10

Brian

Les filles n’en ont jamais marre d’entendre le son de leur voix ? je me demandais si elle avait toujours quelque chose à dire. Je n’en pouvait plus. Cela faisait une demie heure que la blonde qui se trouvait derrière moi parlait. J’aurait bien voulut me retourner et lui faire passer l’envie de continuer son discourt barbant mais je pensais que le premier jour, cela ferait mauvaise impression. Et pour couronner le tout, ce prof nous ressortait le speech anti-délinquant. Je pense qu’il devait l’avoir inscris sur un papier et chaque année il disait la même chose. il devait connaître son texte par cœur à force.
Non mais c’est vrai ! Les profs n’en ont jamais marre de répéter la même chose ? ils savaient bien qu’ils auraient beau dire n’importe quoi, jamais la violence et la drogue ne prendrait fin dans aucun établissement. Je n’en revenais pas. Comment cet abruti ne pouvait il pas avoir honte de parler de drogue alors qu’une des deux filles qui se trouvait derrière moi était complètement défoncée. Je vous jure ces vieux !
J’avais pris place dans le fond de la classe, à l’avant dernier rang et un garçon était venu s’asseoir à coté de moi. A vrai dire je ne le sentait pas trop. C’était un binoclard, genre premier de la classe. Tout ce que je détestait. Je ne voulais pas d’ami, je n’en avais pas besoin.
D’ailleurs je n’ai pas besoin d’ami. Les mais n’apporte rien de bon. Ils sont toujours là a vous demander des services, et en échange qu’est ce que vous avez ? leur amitié ? mais l’amitié n’est rien. Ce n’est qu’une idée, un mot, une définition dans un dictionnaire. Après tout qu’est ce qui nous prouve qu’un amitié est partagé, absolument rien.. Qu’est ce qui nous prouve que les amis en question serait capable de faire n’importe quoi pour nous? absolument rien.
C’est vrai, à quoi servent les amis, si ce n’est qu’a vous apporter des emmerdes ! ami rime avec ennui. Ils ne sont jamais la quand il faut mais réclame votre présence dans leur mauvaise passe. Vous me direz sûrement qu’ils servent à se confier, mais dans le fond, on sait tous que les vrais secrets, ce qui nous démangent, ce qui nous bouffe de l’intérieur, cela on ne les dit jamais à personne. Je vous entends déjà me dire, ils sont la pour les coups dur. Ah ça oui ils sont là, tout simplement parce qu’ils savent que vous leur serez redevable et qu’ils ne seront pas seul pour leur prochain problème quel qu’il soit. Ce n’est qu’une relation a sens unique. En ce moment l’amitié c’est tendance, avoir des amis c’est chouette, mais bientôt tout cela rejoindra l’amour. Et oui, l’amour c’est dépassé maintenant. Mariage, divorce, relation d’un soir… l’amour n’est plus rien désormais. Juste un sentiment banal au même titre que la peine, la joie. Tout a un début pour que tout est une fin, c’est comme ça.
Je ne m’encombre pas de tout cela. Je n’ai pas d’amis, pas d’amour, pas d’attache et pas d’ennui. Dans ma philosophie de ne faire confiance à personne et de n’aimer personne, je ne suis jamais déçu. Je sais c’est une vision pessimiste des choses, mais au moins je suis le seul à être logique. Je ne me pose pas de questions, je vit c’est tout. Les gens se plaignent de souffrir de ces relations. Moi je n’en suis pas affecté !
Les gens vous jugent, ils ne vous aiment pas. Mais je m’en fiche. Je me fou de l’image que les gens ont de moi car je sais qu’elle est fausse. Je sais pertinemment que mon image ne reflète pas la folie qui est en moi. Et oui, je suis conscient que je deviens plus frappé de jours en jours. Je ne sais pas vraiment d’ou cela vient, mais le fait est que je l’assume pleinement. De toute façon, quelle autre alternative j’ai ?
La sonnerie retentit enfin et je dois avouer que je suis mort de faim. Toute une matinée à écouter un pauvre type d’une ancienne génération parler d’un sujet dont il ne sait rien, c’est vraiment épuisant.


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je sais pas si vous mesurez a kel point je traville comme une acharnée pour vous poster toute ces fics lol

je suis contente d'être ta muse ^^ et continue à écrire autant ça nous fait très plaisir :DD

Apparement Brian et Sarah se ressemblent, ils veulent tous les deux êtres seuls ... m'enfin à part ça Sarah est attachante tandis que lui je ne l'aime pas lol ( ben oui il en faut toujours un lol )

Alors chuite !!!! :mrgreen: